Quatre mois dans la peau d'un militaire2
Chapitre II: Le départ
Quand le moment de partir arrive, c'est le plus dur. Il faut dire au revoir à sa famille et encore si le départ est en pleine semaine, le petit gradé qui vit au régiment ne dit au revoir à sa famille que le week-end et donc ne voit pas sa famille la veille ou le jour de partir.
Donc pour le départ, il faut que les sacs pèsent un poid spécifique, qu'ils possèdent des choses précisent même s'ils n'en auront jamais besoin mais ça on ne leur dit pas surtout si c'est leur première OPEX. Alors il faut que le petit soldat prenne l'initiave de laisser des choses qui ne lui seront, selon lui, pas necessaire là-bas dans ce pays en déroute à qui la France essaie d'amener un semblant de paix.
Le moment du départ se passe souvent la nuit c'est à dire vers deux heures du matin et tout ça pour arriver à Paris avec trois heures d'avance. Et en plus avec un peu de malchance, l'avion ne décolle pas et il faut dormir sur Paris dans une chambre au frais du soldat et pour partir en début d'après-midi le lendemain. Arrivé à l'aéroport, si c'est le bon, il ne reste plus beaucoup de temps ou plutôt d'heures pour arriver à bon port, enfin espérons-le!
Arrivée dans ce pays on ne voit pas forcément, tout de suite, la différence avec la France, mais elle existe.
Quand le moment de partir arrive, c'est le plus dur. Il faut dire au revoir à sa famille et encore si le départ est en pleine semaine, le petit gradé qui vit au régiment ne dit au revoir à sa famille que le week-end et donc ne voit pas sa famille la veille ou le jour de partir.
Donc pour le départ, il faut que les sacs pèsent un poid spécifique, qu'ils possèdent des choses précisent même s'ils n'en auront jamais besoin mais ça on ne leur dit pas surtout si c'est leur première OPEX. Alors il faut que le petit soldat prenne l'initiave de laisser des choses qui ne lui seront, selon lui, pas necessaire là-bas dans ce pays en déroute à qui la France essaie d'amener un semblant de paix.
Le moment du départ se passe souvent la nuit c'est à dire vers deux heures du matin et tout ça pour arriver à Paris avec trois heures d'avance. Et en plus avec un peu de malchance, l'avion ne décolle pas et il faut dormir sur Paris dans une chambre au frais du soldat et pour partir en début d'après-midi le lendemain. Arrivé à l'aéroport, si c'est le bon, il ne reste plus beaucoup de temps ou plutôt d'heures pour arriver à bon port, enfin espérons-le!
Arrivée dans ce pays on ne voit pas forcément, tout de suite, la différence avec la France, mais elle existe.